De nombreuses expérimentations précliniques et divers témoignages démontrent d’une efficacité certaine de la prise de CBD, qui pour l’instant ne peut être validé scientifiquement. Cependant, plus de preuves seront nécessaires pour évaluer l’efficacité du cannabidiol pour toutes les utilisations ci dessous. Le nombre d’étude scientifiquement acceptable disponible sur l’humain est limitée.
Le cannabidiol est un cannabinoïde présent dans le cannabis. Le CDB est un phytocannabinoid bicyclic extrêmement lipophile. Il est le deuxième cannabinoïde le plus étudié après le THC et est le constituant majeur des cannabinoïdes du chanvre. Le CBD a une concentration de 0,1-2,9 %.
Bipolarité et CBD

Les éléments sont insuffisant pour un rapport précis et concis. Les premiers rapports suggèrent que la prise quotidienne de cannabidiol n’améliore pas les épisodes maniaques chez les personnes atteintes de troubles bipolaires.
Dystonie et CBD

Les premières recherches suggèrent que prendre du cannabidiol tous les jours pendant 6 semaines pourrait améliorer la dystonie de 20% à 35% chez certaines personnes. Une recherche de meilleure qualité est nécessaire afin de confirmer cela.
Épilepsie et CBD

Des recherches préliminaires suggèrent que prendre du cannabidiol tous les jours jusqu’à 18 semaines pourrait réduire les crises chez certains sujets. Cependant, d’autres études montrent que la prise quotidienne de cannabidiol pendant 6 mois ne réduit pas les crises chez les personnes atteintes d’épilepsie. Les raisons de ces données contradictoires ne sont pas claires. Tout dépend de la qualité de produit à base de CBD consommé.
La maladie de Huntington et le CBD

Les premières recherches montrent que la prise quotidienne de cannabidiol n’améliore pas les symptômes de la maladie de Huntington.
Insomnie et CBD

Les recherches suggèrent que la prise de 160 mg de cannabidiol avant le coucher améliore le temps de sommeil chez les personnes souffrant d’insomnie. Cependant, des doses plus faibles n’ont pas cet effet. Le Cannabidiol ne semble pas non plus aider les gens à s’endormir et pourrait réduire la capacité de se rappeler des rêves.
Sclérose en plaques et CBD

Il existe des preuves contradictoires sur l’efficacité du cannabidiol pour les symptômes de la sclérose en plaques. Certaines recherches préliminaires suggèrent que la vaporisation de cannabidiol sous la langue pourrait améliorer la douleur et la raideur musculaire chez les personnes atteintes de SEP. Cependant, il ne semble pas améliorer les spasmes musculaires, la fatigue, le contrôle de la vessie, la capacité de se déplacer, le bien-être et la qualité de vie.
Parkinson et CBD

Certaines recherches préliminaires montrent que la prise quotidienne de cannabidiol pendant 4 semaines améliore les symptômes psychotiques chez les personnes atteintes de la maladie de Parkinson et de la psychose.
Schizophrénie et CBD

La recherche sur l’utilisation du cannabidiol pour les symptômes psychotiques chez les personnes atteintes de schizophrénie est contradictoire. Certaines recherches initiales suggèrent que la prise de cannabidiol quatre fois par jour pendant 4 semaines améliore les symptômes psychotiques et pourrait être aussi efficace que l’antipsychotique médicamenteux amisulpride (Solian). Cependant, d’autres recherches précoces suggèrent que la prise de cannabidiol pendant 14 jours n’est pas bénéfique. Les résultats contradictoires peuvent être liés à la dose de cannabidiol utilisée et à la durée du traitement.
Arrêt du tabac et CBD

Les premières recherches suggèrent que l’inhalation de cannabidiol avec un inhalateur pendant une semaine pourrait réduire le nombre de cigarettes fumées d’environ 40% par rapport aux valeurs initiales.
Trouble d’anxiété sociale et CBD

Certaines recherches antérieures montrent que la prise de 300 mg de cannabidiol par jour n’améliore pas l’anxiété chez les personnes souffrant de trouble d’anxiété sociale. Cependant, d’autres recherches précoces suggèrent que prendre une dose plus élevée (400-600 mg) peut améliorer l’anxiété associée à la parole en public ou au test d’imagerie médicale chez les personnes souffrant de dépression saisonnière.